C’est le taux de réduction, par semaine, des concentrations de dioxyde d’azote (NO2) en surface dans le nord de l’Italie depuis le début de la crise sanitaire du COVID-19 mi-février, selon le Service pour la surveillance atmosphérique de Copernicus (CAMS).
Le dioxyde d’azote est un polluant atmosphérique émis en grande majorité par les activités humaines (transport routier, production d’énergie, industries…).