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3 minutes pour TOUT comprendre sur les économies d’énergie et l’amélioration de la qualité de l’air intérieur.
Depuis plus de 20 ans, NanoSense mesure et contrôle la qualité de l’air intérieur en réduisant la consommation énergétique des bâtiments grâce à ses sondes innovantes.
On vous propose des solutions qui permettent d’économiser beaucoup d’énergie tout en respectant une bonne qualité de l’air.
Alors, comment fait-on pour réduire la consommation énergétique liée à la ventilation ?
Régulation de la ventilation. dans la plupart des bâtiments, la ventilation tourne h24. Avec nos sondes QAI, on va réguler la ventilation avec un débit qui correspond à un véritable besoin et rarement au maximum !
Et pour cette régulation, comme un thermostat mesure la température, il va falloir mesurer la qualité de l’air. Sauf que la qualité de l’air, c’est plus compliqué que la simple température parce qu’il y a plein de paramètres dans la qualité de l’air : CO2 que l’on expire, des composés organiques volatils COV, Particules fines PM, humidité etc…
Si on le mesure correctement, on est en mesure de réguler la ventilation en fonction des besoins. Nos sondes de qualité de l’air (CO2, COV, Particule fines, humidité, température…) offrent la possibilité de mesurer, surveiller et contrôler en temps réel la qualité de l’air.
Nos sondes de qualité de l’air intérieur & extérieur (CO2, COV, Particule fines, humidité, température…) offrent la possibilité de mesurer, surveiller et contrôler en temps réel la qualité de l’air.
Nous invitons donc chacun d’entre vous à regarder cette vidéo de présentation qui met en avant l’importance d’une bonne ventilation accompagnée de mesures fiables.
Pour plus de détails, nous vous invitons à regarder cette vidéo de présentation qui met en avant l’importance d’une bonne ventilation accompagnée de mesures fiables.
Bienvenue chez NanoSense. Depuis plus de 20 ans, NanoSense mesure et contrôle la qualité de l’air intérieur en réduisant la consommation énergétique des bâtiments grâce à ses sondes innovantes. L’air que nous respirons quotidiennement, c’est le moyen de vivre. Mais est ce que l’air est vraiment sain ? Eh bien non ! On découvre que l’air n’est pas si sain que ça. Ça peut atteindre notre santé, ça peut atteindre notre productivité. Et puis, si on veut un air sain, malheureusement, on ventile souvent beaucoup trop, ce qui a un impact en termes de dépense énergétique. Mais chez NanoSense, on a réfléchi à ça et on va vous proposer des solutions qui permettent d’économiser beaucoup d’énergie tout en respectant une bonne qualité de l’air.
En fait, la problématique de la ventilation, c’est sa gestion ! On ne gère pas correctement la ventilation. Autrefois, on chauffait avec du charbon et on mettait des pelletées de charbon. Il n’y avait pas de chauffage régulé. Aujourd’hui, on a l’électronique avec des thermostats qui va réguler au degré près le confort thermique. Et ça, c’est de nature à économiser beaucoup d’énergie. Pas de surchauffe, du confort, tout va bien.
Mais en matière de qualité de l’air, malheureusement, on en est encore pas au Moyen-Âge, mais disons aux années 60. La plupart des systèmes de ventilation fonctionnent 24 h sur 24.C’est une ventilation qui est dimensionnée pour une occupation maximale. Et cette occupation est rare, donc on consomme énormément d’énergie. C’est comme si on chauffait toute l’année à fond le chauffage, même l’été. Même pendant les périodes de canicule, jour et nuit, c’est complètement aberrant sur le plan énergétique.
En matière de consommation énergétique, l’Europe a légiféré et a contraint tous les pays membres à eux-mêmes légiférer en matière de consommation et pour les bâtiments qui représentent plus de 43 % de la consommation énergétique globale du pays, il est très important de faire des efforts et donc à faire très attention à l’aspect de la ventilation. Alors, comment fait-on pour réduire la consommation énergétique liée à la ventilation ?
LA REGULATION !
On va faire comme pour le chauffage. On régule ! La VMC qui veut dire ventilation mécanique contrôlée. Le C du contrôle. C’est ça qui est important. On ne va pas tourner H24, on va utiliser la ventilation avec un débit qui correspond à un véritable besoin et rarement au maximum. Et pour cette régulation, comme un thermostat mesure la température, il va falloir mesurer la qualité de l’air. Sauf que la qualité de l’air, c’est un petit peu plus compliqué que la simple température parce qu’il y a plein de choses dans la qualité de l’air. On a le CO2 que l’on expire, mais il y a des composés organiques volatils. Il y a aussi la transpiration. Tout ça, si on le mesure correctement, on est en mesure de réguler
On ventile parce qu’on a des fonctions, nous, humains dans une pièce. On est là pour faire des choses et notamment dans le tertiaire, pour travailler. Donc, l’objectif d’une bonne qualité de l’air, c’est principalement dans le tertiaire, les fonctions cognitives ventiler correctement, adapter les débits ou le traitement de l’air d’ailleurs, il n’y a pas que de la ventilation pour atteindre, disons, des objectifs, notamment de productivité, de santé également. Et puis, dans le résidentiel, on peut avoir aussi la qualité du sommeil. Alors une sonde de qualité de l’air ça peut paraître simple, il peut y avoir beaucoup d’acteurs, mais chez NanoSense, on a quelques années d’avance.
Donc je suis là pour vous présenter la nouvelle gamme EP5000. Donc c’est notre nouvelle gamme de sondes qui va permettre de mesurer la qualité de l’air sur différents polluants et de piloter la ventilation. Il y a plusieurs formes mécaniques de ce produit, alors que la version standard, c’est ce type de produit là. Donc c’est des boîtiers de dix par dix qui rentrent en encastré dans le mur. Donc, comme vous pouvez le voir, il y a une partie arrière plus fine pour pouvoir s’intégrer directement dans le mur et avoir un encombrement visuel minimum de moins d’un centimètre. Donc c’est une sonde qui va mesurer entre douze et quinze paramètres d’environnement intérieur qui va être capable d’utiliser ces informations là pour calculer des commandes de ventilation, de chauffage et de climatisation, mais aussi des indices de valorisation de données, de la qualité de l’air et de l’environnement intérieur qu’on appelle chez nous impact physiologique, donc une représentation de la productivité de la santé. L’irritation des voies respiratoires.
Elle existe sous plusieurs formes mécaniques. La version qui est encastrée dans le mur. Ensuite, il y a la version murale. Donc ça, c’est une fixation plus simple avec deux vis. Donc la sonde vient se clipser à l’intérieur et on peut ensuite l’installer au mur plus facilement dans le cadre de rénovation. Et ensuite, vous avez la version avec le cadre saillie toujours mais aussi le petit support de table. Donc on peut voir juste en dessous qui permet d’avoir une sonde utilisée en mobilité et de l’utiliser aussi également comme un objet connecté, c’est-à-dire qu’on va pouvoir le poser sur une table, l’alimenter avec une petite prise murale et tout simplement pouvoir faire du pré-audit de la démonstration commerciale et l’utiliser dans plusieurs espaces pour pouvoir étudier la qualité de l’air à différents endroits. Sur des audits qui vont durer plusieurs semaines. Essayons de quantifier un peu ce que va apporter une sonde qui va réguler la ventilation.
Partons d’une hypothèse simple : Une ventilation qui tourne 24 h sur 24, qui est dimensionné pour une super occupation maximum. Si on prend simplement le fait que dans du tertiaire, on travaille 8 h par jour. Donc on va occuper 8 h sur 24. Déjà, on a deux tiers d’économisés. La sonde va permettre de savoir s’il y a du monde. L’expiration du CO2, elle, va être détectée. Déjà, c’est un premier niveau et le deuxième niveau, c’est qu’en fait, on ne va jamais ou très rarement être en occupation maximum. Et donc on va réguler le débit en fonction du besoin. S’il y a une personne dans une pièce ou dix personnes, on n’aura pas le même débit et c’est normal. Tout ça, c’est de nature à économiser de l’énergie. Mais il ne faut pas se concentrer que sur la partie énergétique. Et ça, c’est important parce que dans le tertiaire, ce qui compte, c’est quand même que l’on produise, que l’on soit efficace. Si on prend l’aspect productivité, quelques pourcentages de gains de productivité, c’est quelques pourcentages sur la masse salariale. Et là, on va parler en centaines de milliers d’euros, en millions d’euros selon la taille de l’entreprise. Et donc la rentabilité elle est très importante et on est capable de faire et des économies d’énergie et des gains de productivité de façon concomitante. Et c’est ça la vraie révolution de cette nouvelle génération de sondes de qualité de l’air.
Nous allons évoquer maintenant comment nos clients perçoivent nos sondes une fois qu’elles ont été installées. Je vais prendre le cas d’Allianz. Allianz Real Estate a commencé par vouloir équiper
son siège social à Paris. Ils ont donné la transparence sur les mesures avec un affichage dans chaque pièce. Et ils ont été au-delà encore puisqu’ils ont affiché la qualité de l’air dans le hall d’entrée du bâtiment. Ils sont tellement contents de la perception qu’ont les gens parce que c’est un effort de transparence qui n’est pas toujours évident. Ils sont tellement satisfaits de ça que maintenant, dans tous les nouveaux projets, ils prescrivent l’usage de nos sondes. Au-delà d’Allianz, nous avons aussi quelques belles références, comme Chanel, pour les boutiques, Gucci, Il y a des choses plus courantes, comme l’aéroport de Hong Kong par exemple. Nous allons équiper tous les bâtiments tertiaires des Jeux Olympiques 2024 qui se passeront à Paris. NanoSense a pour ambition de devenir les yeux et les oreilles et un super nez
du bâtiment intelligent pour faciliter les prises de décision. Le marché de la qualité de l’air est aujourd’hui balbutiant. On ne fait que commencer, mais à terme, ce marché va se massifier.
Donc notre vision, c’est qu’à terme, il y aura vraisemblablement une sonde de qualité de l’air qui fera de la régulation pièce par pièce. Et chez NanoSense, nous sommes préparés à ce marché de massification, à la réduction des prix que l’on a en tête depuis le début même au niveau de la conception et sur la facilitation de l’installation.
Plus ce sera facile, plus le marché se développera. Si notre sonde aujourd’hui, on la considère comme très évoluée, elle va continuer à évoluer et donc l’évolution du marché sera des sondes qui s’alimentent avec l’énergie environnante, mais aussi qui communiquent avec des smartphones.
On va aussi évoluer vers la détection de composés organiques spécifiques. Il y a encore pas mal d’évolutions à faire pour que ces sondes soient moins chères, plus communicantes, plus ergonomiques et plus faciles à installer.